R1.2
Mémoires à l'ultraviolet pourrait devenir une grande murale où figureraient les images de nombreuses transformations de la société québécoise au XXe siècle. On peut participer de différentes façons à cette création collective.
1- En enregistrant un commentaire qui corrige un message, le confirme par une expérience personnelle ou l'éclaire d'un jour particulier. Ce commentaire restera attaché au message commenté comme une lampe éclaire un tableau. Pour enregistrer un commentaire, il faut cliquer sur le mot "commentaires" au bas du message et inscrire son texte dans la fenêtre appropriée.
2- En envoyant un message au blogmestre Clmnt qui le greffera à l'endroit approprié sur la toile et le rendra ainsi accessible à tous.
3- En communiquant au blogmestre Clmnt l'adresse internet d'un document qui selon vous s'inscrit bien dans le projet en cours.
Ou tout simplement en envoyant par courriel à l'une des adresses ci-jointes, une réflexion, un souvenir, un document, une photo qui pourrait enrichir le tableau. Flo Clmnt
Votre participation peut être signée ou anonyme ou présentée sous le couvert d'un pseudonyme. Vos souhaits concernant la confidentialité seront respectés.
Et vogue la galère sur ce XXe qui fut un peu et beaucoup aussi le nôtre à tous.
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jeudi 19 février 2009
mercredi 18 février 2009
Plan des mémoires
Volume I L’enfance (1929 – 1943)
1- Avant propos
Introduction
2- Le vingtième siècle
3- Les "années folles"
4- 1929 année maudite
5- St-Zéphirin de Courval
6- Un nid de duvet Chez Hormidas
Le petit gars dans sa famille
Le petit gars au travail
7- Tas de foin tas de souvenirs
Ce plan, sujet à modifications, est comme le squelette de notre projet d'écriture. La trame qui entrecroise la chaîne à l'horizontale est faite des événements, des réflexions, des témoignages qui viendront au fur et à mesure du déroulement se greffer sur la chaîne. Ainsi les événements qui, en parallèle, ont marqué les mutations de la société québécoise, l'après-guerre, la révolution tranquille... figurent à leur moment sur la chaîne de ma vie et en expliquent partiellement les transformations. Ce sont des références auxquelles on a accès en cliquant sur les liens qui marquent les mots clés du récit.
1- Avant propos
Introduction
2- Le vingtième siècle
3- Les "années folles"
4- 1929 année maudite
5- St-Zéphirin de Courval
6- Un nid de duvet Chez Hormidas
Le petit gars dans sa famille
Le petit gars au travail
7- Tas de foin tas de souvenirs
8- 5 ans Initiation à la traite
9- Communion au cheddar
10- Rites de boucherie
11-Travaux d’hiver
12-Travailler en vacances
13- L’usine à câbles à bateaux
Le petit gars à école du rang
14- La fille qui m’a mis à genoux
15- De Profundis et Transsubstantiation
16- La distribution des prix
Le petit gars en liberté
17- Le péché originel et les vaches de Chatillon
18- Août le mois des bleuets
19- Robinson pour un autre monde
20- Autonomie et délinquance
On fête à St-Zéphirin
21- Noël et jour de l’An chez Hormisdas
22- Le jambon et les cloches
La religion et sexualité
23- La mousse aux fraises
24- Une communion solennelle sacrilège
25- Les fois que Dieu s’est fait tout proche
Souvenirs de guerre
26- Plus jamais la guerre
27- Ration d’essence et randonnée à Mont-Joli
28- Électrification rurale
Partir c'est mourrir un peu
29- Dernier jour à St-Zéphirin
Volume II La communauté
1-
00- Avant propos
Revoir à l'ultraviolet l'évolution de religieux qui, à la fin des années 60, ont quitté leur communauté pour une deuxième vie dans un Québec en mutation
0- Introduction Naissance
Le monde dans lequel je suis né à St-Zéphirin de Courval en 1929
01- Le vingtième siècle
02- Les "années folles"
03- 1929 année maudite
04- St-Zéphirin de Courval
05- Un nid de duvet Chez Hormidas
1-0- L’enfance – (1934 – 1943) Voir le plan détaillé.
L’apprentissage de la vie en milieu rural.
2-0- L’entrée en communauté et la formation - (1943-1947)
Les étapes et les conditions de la formation des religieux au Mont- Sacré-Coeur à Granby en 1929
3-0- La vie encadrée d’un frère enseignant - (1947-1958)
Enseigner dans une école de frères avant la révolution tranquille
4-0- Le recyclage théologique - Rome - (1958-1961)
Les études à Jesus Magister, institut créé par l'université pontificale du Latran à Rome pour les frères éducateurs oeuvrant dans tous les pays du monde
5-0- Au coeur de la Révolution tranquille – (1961- 1971)
Être religieux et enseigner la religion au Québec après la Révolution tranquille
L’Arche des Jeunes
6-0- La sortie de communauté - (1971-1974)
La sécularisation après 25 ans de vie religieuse et après le concile Vatican II
L’apprentissage de la vie séculière
7-0- La mutation - (1974 - 1994)
Lente mutation des sciences religieuses à l'anthropologie, de la foi à la non-croyance, du célibat à la vie de couple, de l'éducateur en milieu protégé au parent en milieu troublé
8-0 La retraite - (1990-2009)
L'apprentissage de la sagesse de la vie et du regard - L'art d'être grand-père - Envisager la mort avec sérénité et l'avenir de l'humanité avec confiance
_______________________________________________Note:
Mémoires à l'ultraviolet comme un tissu comporte une trame et une chaîne. La chaîne c'est celle du temps. Elle se déroule selon un ordre chronologique découpé aux moments charnières des principaux virages survenus au cours de ma vie.
Ce plan, sujet à modifications, est comme le squelette de notre projet d'écriture. La trame qui entrecroise la chaîne à l'horizontale est faite des événements, des réflexions, des témoignages qui viendront au fur et à mesure du déroulement se greffer sur la chaîne. Ainsi les événements qui, en parallèle, ont marqué les mutations de la société québécoise, l'après-guerre, la révolution tranquille... figurent à leur moment sur la chaîne de ma vie et en expliquent partiellement les transformations. Ce sont des références auxquelles on a accès en cliquant sur les liens qui marquent les mots clés du récit.
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samedi 14 février 2009
1929 Le krach
A31
Brève histoire des jeudi, lundi et mardi noirs
Le jeudi 24 octobre (jeudi noir ou Black Thursday) marque la première vraie panique. Le matin, il ne se trouve presque pas d'acheteurs, quel que soit le prix, et les cours s'effondrent. À midi, l'indice D
ow Jones a perdu 22,6 %. Une émeute éclate à l'extérieur du New York Stock Exchange, après que les gardes du bâtiment et la police ont empêché des actionnaires d'entrer. La galerie des visiteurs est fermée. Les rumeurs les plus folles circulent : onze spéculateurs se seraient suicidés
Le cycle s'emballe le lundi 28 qui restera dans les mémoires comme le « lundi noir » (Black Monday), où 9,25 millions de titres sont échangés. Les banques n'interviennent pas, contrairement au jeudi précédent. L'indice Dow Jones perd 13 % (260,64), un record qui ne sera battu que lors du krach d'octobre 1987. Certains titres sont massacrés: General Electric perd 48 points, Eastman Kodak 42, AT&T et Westinghouse 34, U.S. Steel, 18.
Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres. Les téléimprimeurs ont jusqu'à deux heures et demie de retard sur les cours. L'indice Dow Jones perd encore 12 % (230,07) et les gains d'une année de hausse disparaissent. John Kenneth Galbraith écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des Bourses. »
Par un effet de dominos, c'est l'ensemble de la Bourse qui s'effondre, et la chute de 1930 à 1932 est supérieure à celle de l'année 1929. Le 8 juillet 1932, le Dow Jones tombe à 41,22, son plus bas niveau depuis sa création en 1896.
ow Jones a perdu 22,6 %. Une émeute éclate à l'extérieur du New York Stock Exchange, après que les gardes du bâtiment et la police ont empêché des actionnaires d'entrer. La galerie des visiteurs est fermée. Les rumeurs les plus folles circulent : onze spéculateurs se seraient suicidésLe cycle s'emballe le lundi 28 qui restera dans les mémoires comme le « lundi noir » (Black Monday), où 9,25 millions de titres sont échangés. Les banques n'interviennent pas, contrairement au jeudi précédent. L'indice Dow Jones perd 13 % (260,64), un record qui ne sera battu que lors du krach d'octobre 1987. Certains titres sont massacrés: General Electric perd 48 points, Eastman Kodak 42, AT&T et Westinghouse 34, U.S. Steel, 18.
Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres. Les téléimprimeurs ont jusqu'à deux heures et demie de retard sur les cours. L'indice Dow Jones perd encore 12 % (230,07) et les gains d'une année de hausse disparaissent. John Kenneth Galbraith écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des Bourses. »
Par un effet de dominos, c'est l'ensemble de la Bourse qui s'effondre, et la chute de 1930 à 1932 est supérieure à celle de l'année 1929. Le 8 juillet 1932, le Dow Jones tombe à 41,22, son plus bas niveau depuis sa création en 1896.
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Tiré de : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_de_1929
Tiré de : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_de_1929
Retour aux mémoires de Florian
vendredi 13 février 2009
Le Krach
Retour aux mémoires de Florian
Le jeudi 24 octobre (jeudi noir ou Black Thursday) marque la première vraie panique. Le matin, il ne se trouve presque pas d'acheteurs, quel que soit le prix, et les cours s'effondrent. À midi, l'indice Dow Jones a perdu 22,6 %. Une émeute éclate à l'extérieur du New York Stock Exchange, après que les gardes du bâtiment et la police ont empêché des actionnaires d'entrer. La galerie des visiteurs est fermée. Les rumeurs les plus folles circulent : onze spéculateurs se seraient suicidés
Le cycle s'emballe le lundi 28 qui restera dans les mémoires comme le « lundi noir » (Black Monday), où 9,25 millions de titres sont échangés. Les banques n'interviennent pas, contrairement au jeudi précédent. L'indice Dow Jones perd 13 % (260,64), un record qui ne sera battu que lors du krach d'octobre 1987. Certains titres sont massacrés : General Electric perd 48 points, Eastman Kodak 42, AT&T et Westinghouse 34, U.S. Steel, 18.
Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres. Les téléimprimeurs ont jusqu'à deux heures et demie de retard sur les cours. L'indice Dow Jones perd encore 12 % (230,07) et les gains d'une année de hausse disparaissent. John Kenneth Galbraith écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des Bourses. »
Par un effet de dominos, c'est l'ensemble de la Bourse qui s'effondre, et la chute de 1930 à 1932 est supérieure à celle de l'année 1929. Le 8 juillet 1932, le Dow Jones tombe à 41,22, son plus bas niveau depuis sa création en 1896. Tiré de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_de_1929
Retour aux mémoires de Florian
Le jeudi 24 octobre (jeudi noir ou Black Thursday) marque la première vraie panique. Le matin, il ne se trouve presque pas d'acheteurs, quel que soit le prix, et les cours s'effondrent. À midi, l'indice Dow Jones a perdu 22,6 %. Une émeute éclate à l'extérieur du New York Stock Exchange, après que les gardes du bâtiment et la police ont empêché des actionnaires d'entrer. La galerie des visiteurs est fermée. Les rumeurs les plus folles circulent : onze spéculateurs se seraient suicidés
Le cycle s'emballe le lundi 28 qui restera dans les mémoires comme le « lundi noir » (Black Monday), où 9,25 millions de titres sont échangés. Les banques n'interviennent pas, contrairement au jeudi précédent. L'indice Dow Jones perd 13 % (260,64), un record qui ne sera battu que lors du krach d'octobre 1987. Certains titres sont massacrés : General Electric perd 48 points, Eastman Kodak 42, AT&T et Westinghouse 34, U.S. Steel, 18.
Le 29 octobre, le mardi noir (Black Tuesday), le volume échangé atteint 16,4 millions de titres. Les téléimprimeurs ont jusqu'à deux heures et demie de retard sur les cours. L'indice Dow Jones perd encore 12 % (230,07) et les gains d'une année de hausse disparaissent. John Kenneth Galbraith écrit qu'il s'agit du « jour le plus dévastateur dans l'histoire de la Bourse de New York, et peut-être aussi dans toute l'histoire des Bourses. »
Par un effet de dominos, c'est l'ensemble de la Bourse qui s'effondre, et la chute de 1930 à 1932 est supérieure à celle de l'année 1929. Le 8 juillet 1932, le Dow Jones tombe à 41,22, son plus bas niveau depuis sa création en 1896. Tiré de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Krach_de_1929
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